La page blanche et les mots
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La page blanche et les mots
Je
… déjà la page n’est plus blanche. De l'immensité infinie des textes imaginables, il ne reste plus que l’étendue à perte de vue des textes commençant par “Je”.
“Je” m’installe dans une complicité avec le lecteur.
“Je” ne parle pas d’une personne dont je connais peu de chose et qui m’est étrangère : “Je” parle de moi, et c’est à vous que je parle.
“Je” suis vivante : c’est l’assurance que mon personnage l’est aussi, à l’instant de l’écrire.
“Je” suis forte de mes convictions et “Je” ne me contente pas de relater des avis que je ne partage pas : “Je” m’implique et vous êtes impliqués, puisque vous voilà mon confident...
me
… m’impose d’accomplir une action, le champ des possibles se ratatine et se referme sur moi...
lève.
… Le présent : Le temps de l’action et de ce qui est. En dehors : rien n’existe plus ou pas encore. Le présent renforce le frisson du contact, le souffle du mouvement, les battements de la vie. Il est simple et franc, loin des effets de manche d’une action relatée au passé ou au futur.
“Je me lève” : Chaque mot nouveau ferme de nouvelles portes. Ne croyez pas qu’il en ouvre. Au commencement tout est possible puis, de mot en mot, de pas en pas, l’histoire (tout comme la vie) se réduit à n’être plus qu’une seule histoire : notre histoire, différente de toutes les autres.
“Je me lève” réduit l’étendue de mon passé : J’étais assise ou couchée. Je n’étais pas debout, je ne volais pas, je ne nageais pas. Je ne dormais pas, sans quoi il aurait d’abord fallu que je me réveille.
J’ai décidé d’agir : “Je me lève” n’est que le début d’une succession d’actions. C’est un début idéal pour une histoire.
Vous imaginez sans doute déjà que je vais me déplacer, dans une pièce, pour aller quelque part, pour prendre quelque chose.
“Je me lève” commence le récit par une phrase de trois mots : rythme, action, respiration. Il vous rassure sur mon intention de ne pas faire “du Proust”. “Je me lève” prestement : je n’ai aucun mal à me lever...
Les mondes se rejoignent.
… Deux fois plus long que “Je me lève”.
Dans la comparaison à la respiration, les “phrases” peuvent se ressentir, soit comme une inspiration, soit comme une expiration.
“Je me lève” : inspiration courte qui accompagne le mouvement de “se lever”
“Les mondes se rejoignent” expiration un rien plus longue : pas d’action, pas d’emballement, la pesanteur des mondes et de la phrase (bien que courte).
“Les mondes se rejoignent” nous fait quitter l’action et le présent, ouvre la porte d’une dimension cosmique, philosophique ou poétique. Ne vous y trompez pas : les “portes de dimension” ne mènent pas vers “plus de possibles” mais vers “d’autres compréhensions”
“Les mondes se rejoignent” parle de plusieurs mondes, forcément différents, probablement en opposition et apparemment en mouvement. De quels mondes s’agit-il ?
Chaque mot est choisi pour servir au mieux la phrase, le texte, le contexte. Plus la phrase est courte et plus cela doit être vrai.
“Les” est à la fois vague et global.
“Deux mondes” est tout aussi vague mais plus du tout global. La confrontation est beaucoup plus nette. Notre imagination se bloque immédiatement sur des opposés : L’ancien monde et le nouveau (le passé et le futur), les jeunes et les anciens, les technos et les spirites, le bien et le mal, l’ombre et la lumière, le monde d’une personne et le monde d’une autre que tout oppose... Tout en rejetant l’hypothèse planétaire et cosmique.
“Des mondes” est à la fois vague et vague : trop vague pour déclencher une pré-pensée chez le lecteur. “Des mondes se rejoignent” provoque une interruption d’attention et la phrase est ignorée.
“Nos mondes” ouvre la dimension cosmique par l’évoquation de mondes auxquels nous appartenons “tous”. Il ouvre également une dimension philosophique en nous permettant de penser qu’il est question de mondes nous appartenant.
“Nos deux mondes” réduit “Nos mondes” en rejetant le “nous” et le “tous”. Nous ne sommes plus qu’en présence de deux personnes : “moi” et “quelqu'un” dont je m'apprête à parler.
“se rejoignent” : le processus se déroule en ce moment, les mondes finiront par entrer en contact.
“se rapprochent” : pareil, mais sans contact final.
“se sont rejoints” : le processus est terminé. Cette forme est beaucoup moins chargée d’émotion. On est déjà dans l’après contact.
“se réunissent” : On se réunit, on en discute, et on se dit “à la prochaine”
“s’assemblent” : Apporte une notion d’imbrication sans heurts de mondes préconçus pour s’assembler.
“Les mondes se rejoignent”, en laissant toutes les portes de dimension ouvertes, nous fait entrer dans la dimension poétique. (La dimension poétique, comme chacun sait, ne se base pas sur un nombre de pieds et sur des rimes plus ou moins fraîches).
En écrivant, il faut se souvenir que nous sommes des lecteurs. Nous découvrons les mots à mesure que nous les lisons. Le sens du texte se forme, se déforme, se transforme mot après mot. Nous avons besoin que des portes se ferment sur le “passé” pour avoir la sensation de cheminer dans “l’histoire” tout en nous projetant dans son avenir... Mais nous aimons aussi être tenus en haleine, plongés dans l’incertitude et la confusion... Il est bon de nous tenir les portes ouvertes... aussi longtemps que nous pouvons le supporter !
Pour le fun (et sans explication de texte), voici une suite possible à ces deux premières phrases. Deux “changements” sautent aux sens : Changement de dimension et changement de “respiration” :
Mon père m’a appelée hier soir.
Il ne m’a rien dit
à part qu’il arrivait,
qu’il voulait me voir
et qu’il voulait me parler.
… déjà la page n’est plus blanche. De l'immensité infinie des textes imaginables, il ne reste plus que l’étendue à perte de vue des textes commençant par “Je”.
“Je” m’installe dans une complicité avec le lecteur.
“Je” ne parle pas d’une personne dont je connais peu de chose et qui m’est étrangère : “Je” parle de moi, et c’est à vous que je parle.
“Je” suis vivante : c’est l’assurance que mon personnage l’est aussi, à l’instant de l’écrire.
“Je” suis forte de mes convictions et “Je” ne me contente pas de relater des avis que je ne partage pas : “Je” m’implique et vous êtes impliqués, puisque vous voilà mon confident...
me
… m’impose d’accomplir une action, le champ des possibles se ratatine et se referme sur moi...
lève.
… Le présent : Le temps de l’action et de ce qui est. En dehors : rien n’existe plus ou pas encore. Le présent renforce le frisson du contact, le souffle du mouvement, les battements de la vie. Il est simple et franc, loin des effets de manche d’une action relatée au passé ou au futur.
“Je me lève” : Chaque mot nouveau ferme de nouvelles portes. Ne croyez pas qu’il en ouvre. Au commencement tout est possible puis, de mot en mot, de pas en pas, l’histoire (tout comme la vie) se réduit à n’être plus qu’une seule histoire : notre histoire, différente de toutes les autres.
“Je me lève” réduit l’étendue de mon passé : J’étais assise ou couchée. Je n’étais pas debout, je ne volais pas, je ne nageais pas. Je ne dormais pas, sans quoi il aurait d’abord fallu que je me réveille.
J’ai décidé d’agir : “Je me lève” n’est que le début d’une succession d’actions. C’est un début idéal pour une histoire.
Vous imaginez sans doute déjà que je vais me déplacer, dans une pièce, pour aller quelque part, pour prendre quelque chose.
“Je me lève” commence le récit par une phrase de trois mots : rythme, action, respiration. Il vous rassure sur mon intention de ne pas faire “du Proust”. “Je me lève” prestement : je n’ai aucun mal à me lever...
Les mondes se rejoignent.
… Deux fois plus long que “Je me lève”.
Dans la comparaison à la respiration, les “phrases” peuvent se ressentir, soit comme une inspiration, soit comme une expiration.
“Je me lève” : inspiration courte qui accompagne le mouvement de “se lever”
“Les mondes se rejoignent” expiration un rien plus longue : pas d’action, pas d’emballement, la pesanteur des mondes et de la phrase (bien que courte).
“Les mondes se rejoignent” nous fait quitter l’action et le présent, ouvre la porte d’une dimension cosmique, philosophique ou poétique. Ne vous y trompez pas : les “portes de dimension” ne mènent pas vers “plus de possibles” mais vers “d’autres compréhensions”
“Les mondes se rejoignent” parle de plusieurs mondes, forcément différents, probablement en opposition et apparemment en mouvement. De quels mondes s’agit-il ?
Chaque mot est choisi pour servir au mieux la phrase, le texte, le contexte. Plus la phrase est courte et plus cela doit être vrai.
“Les” est à la fois vague et global.
“Deux mondes” est tout aussi vague mais plus du tout global. La confrontation est beaucoup plus nette. Notre imagination se bloque immédiatement sur des opposés : L’ancien monde et le nouveau (le passé et le futur), les jeunes et les anciens, les technos et les spirites, le bien et le mal, l’ombre et la lumière, le monde d’une personne et le monde d’une autre que tout oppose... Tout en rejetant l’hypothèse planétaire et cosmique.
“Des mondes” est à la fois vague et vague : trop vague pour déclencher une pré-pensée chez le lecteur. “Des mondes se rejoignent” provoque une interruption d’attention et la phrase est ignorée.
“Nos mondes” ouvre la dimension cosmique par l’évoquation de mondes auxquels nous appartenons “tous”. Il ouvre également une dimension philosophique en nous permettant de penser qu’il est question de mondes nous appartenant.
“Nos deux mondes” réduit “Nos mondes” en rejetant le “nous” et le “tous”. Nous ne sommes plus qu’en présence de deux personnes : “moi” et “quelqu'un” dont je m'apprête à parler.
“se rejoignent” : le processus se déroule en ce moment, les mondes finiront par entrer en contact.
“se rapprochent” : pareil, mais sans contact final.
“se sont rejoints” : le processus est terminé. Cette forme est beaucoup moins chargée d’émotion. On est déjà dans l’après contact.
“se réunissent” : On se réunit, on en discute, et on se dit “à la prochaine”
“s’assemblent” : Apporte une notion d’imbrication sans heurts de mondes préconçus pour s’assembler.
“Les mondes se rejoignent”, en laissant toutes les portes de dimension ouvertes, nous fait entrer dans la dimension poétique. (La dimension poétique, comme chacun sait, ne se base pas sur un nombre de pieds et sur des rimes plus ou moins fraîches).
En écrivant, il faut se souvenir que nous sommes des lecteurs. Nous découvrons les mots à mesure que nous les lisons. Le sens du texte se forme, se déforme, se transforme mot après mot. Nous avons besoin que des portes se ferment sur le “passé” pour avoir la sensation de cheminer dans “l’histoire” tout en nous projetant dans son avenir... Mais nous aimons aussi être tenus en haleine, plongés dans l’incertitude et la confusion... Il est bon de nous tenir les portes ouvertes... aussi longtemps que nous pouvons le supporter !
Pour le fun (et sans explication de texte), voici une suite possible à ces deux premières phrases. Deux “changements” sautent aux sens : Changement de dimension et changement de “respiration” :
Mon père m’a appelée hier soir.
Il ne m’a rien dit
à part qu’il arrivait,
qu’il voulait me voir
et qu’il voulait me parler.
Lydia- Créateur de constellations
- Messages : 2928
Date d'inscription : 08/10/2011
Un mot après l'autre...
J’aimerais lancer un fil d’écriture “un peu particulier”, en appliquant le principe du “texte qui prend son sens mot après mot” :
Essayez (chacun de vous) de venir ajouter un mot par jour à ce fil.
Premier défi : le texte obtenu, mot après mot, doit avoir un sens.
Deuxième défi : Plus il sera passionnant et agréable à lire et mieux ce sera.
Pour permettre une lecture facile du texte dans son entier, le posteur copiera le texte précédent pour le coller dans son envoi et y ajouter son mot suivi de sa ponctuation éventuelle ( . , ; : ! ? )
Pour commencer simple, voici le premier mot (et début de ce texte) :
Je
Essayez (chacun de vous) de venir ajouter un mot par jour à ce fil.
Premier défi : le texte obtenu, mot après mot, doit avoir un sens.
Deuxième défi : Plus il sera passionnant et agréable à lire et mieux ce sera.
Pour permettre une lecture facile du texte dans son entier, le posteur copiera le texte précédent pour le coller dans son envoi et y ajouter son mot suivi de sa ponctuation éventuelle ( . , ; : ! ? )
Pour commencer simple, voici le premier mot (et début de ce texte) :
Je
Dernière édition par Dial.e le Ven 21 Oct 2011 - 14:59, édité 1 fois
Lydia- Créateur de constellations
- Messages : 2928
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens
Au suivant d'interpréter le verbe sentir selon ses différents sens : affectif, sentimental, discernement, olfactif, sensitif, etc.
Au suivant d'interpréter le verbe sentir selon ses différents sens : affectif, sentimental, discernement, olfactif, sensitif, etc.
Marsu- Pisteur de satellites
- Messages : 344
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le
Un petit mot qui doit pouvoir en faire arriver un grand.
Un petit mot qui doit pouvoir en faire arriver un grand.
euka- Concepteur d'astres
- Messages : 1226
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil
Je suis pas sûre d'avoir tout compris, mais c'est pas grave je me lance ^^.
Je suis pas sûre d'avoir tout compris, mais c'est pas grave je me lance ^^.
yndra- Traceur de comètes
- Messages : 554
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur
petit mot qui réduit la suite à une partie du corps de "Je", qui impose une surface
petit mot qui réduit la suite à une partie du corps de "Je", qui impose une surface
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses
Je n'est plus seul(e) ...?
Je n'est plus seul(e) ...?
euka- Concepteur d'astres
- Messages : 1226
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
je sens le soleil sur ses paupières
Implique le sens du toucher, le contact, un contact vers l'autre, un sens qui n'est pas en soi mais en l'autre. C'est sentir ce que l'autre ressent.
Implique le sens du toucher, le contact, un contact vers l'autre, un sens qui n'est pas en soi mais en l'autre. C'est sentir ce que l'autre ressent.
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Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes
Marsu- Pisteur de satellites
- Messages : 344
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'
euka- Concepteur d'astres
- Messages : 1226
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotion
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Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les
Les émotions au pluriel, car les paupières en sont lourdes, et un point. : Le texte risque de partir en cacahuètes si on ne passe pas à une nouvelle phrase.
Si ça n’horripile personne, nous appliquerons un saut de ligne à chaque nouvelle "respiration" (ce qui ne veut pas forcément dire chaque nouvelle phrase)
"Les" permet de poursuivre sur la lancée sans fermer les portes à toute(s) autre(s) chose(s).
Ne n'avais pas imaginé que vous ajouteriez tous vos explications, mais c'est une excellente idée (et le texte commence bien... merci ! ^^)
Les
Les émotions au pluriel, car les paupières en sont lourdes, et un point. : Le texte risque de partir en cacahuètes si on ne passe pas à une nouvelle phrase.
Si ça n’horripile personne, nous appliquerons un saut de ligne à chaque nouvelle "respiration" (ce qui ne veut pas forcément dire chaque nouvelle phrase)
"Les" permet de poursuivre sur la lancée sans fermer les portes à toute(s) autre(s) chose(s).
Ne n'avais pas imaginé que vous ajouteriez tous vos explications, mais c'est une excellente idée (et le texte commence bien... merci ! ^^)
Lydia- Créateur de constellations
- Messages : 2928
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons
Les sons
yndra- Traceur de comètes
- Messages : 554
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotion.
Les sens
"Sens" introduit la faculté de perception de notre entourage, il s'ouvre au monde
Mince, Yndra a répondu avant moi
Je recommence...
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des
"des" implique une multitude
"Sens" introduit la faculté de perception de notre entourage, il s'ouvre au monde
- Spoiler:
- pourquoi tu as rajouté un "s" à émotion ? Je ne pense pas que cela s'accorde puisque c'est "une émotion", on pourrait dire "chargée de l'émotion de..."
Mince, Yndra a répondu avant moi
Je recommence...
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des
"des" implique une multitude
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Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches
Ah, ah, qu'est-ce qui peut être proches et sonores ?
Les sons des proches
Ah, ah, qu'est-ce qui peut être proches et sonores ?
Marsu- Pisteur de satellites
- Messages : 344
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
(Excellente initiative Dia.le ! )
Les sons des proches rivages,
(Excellente initiative Dia.le ! )
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la
coucou Flicky !
Les sons des proches rivages,
la
coucou Flicky !
Lydia- Créateur de constellations
- Messages : 2928
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur
(^^ ! )
Les sons des proches rivages,
la douceur
(^^ ! )
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée
ça part très fleur bleue tout ça
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée
ça part très fleur bleue tout ça
euka- Concepteur d'astres
- Messages : 1226
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des
Ca va là, pour un matin, je n'ai pas eu à mobiliser trop de neurones !
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des
Ca va là, pour un matin, je n'ai pas eu à mobiliser trop de neurones !
Attention, cela peut se corser très rapidement !euka a écrit:ça part très fleur bleue tout ça
Marsu- Pisteur de satellites
- Messages : 344
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux
yndra- Traceur de comètes
- Messages : 554
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
La suite en vers ?
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
La suite en vers ?
Avà ??Attention, cela peut se corser très rapidement !
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le
Qu'est-ce que je me sens d'humeur créatrice, ce matin ! Déjà deux articles placés !
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le
Qu'est-ce que je me sens d'humeur créatrice, ce matin ! Déjà deux articles placés !
Oui, beau défi !Flicky a écrit:La suite en vers ?
Marsu- Pisteur de satellites
- Messages : 344
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le temps
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le temps
euka- Concepteur d'astres
- Messages : 1226
Date d'inscription : 27/09/2011
Re: La page blanche et les mots
Je sens le soleil sur ses paupières lourdes d'émotions.
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le temps de
Les sons des proches rivages,
la douceur parfumée des beaux alpages,
le temps de
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